jeudi 10 décembre 2009

L'eau : Production, distribution, pollution, protection, épuration.



La production de l'eau.

L'eau est soit pompée dans les rivières, soit captée dans le sous–sol. Dans une usine de traitement d'eau, elle traverse différents filtres qui absorbent les virus, les bactéries et les traces de pesticides. Elle est ensuite stockée dans un château d'eau et peut être utilisée.

Constance


La distribution de l'eau.

Elle est utilisée à la maison, dans l'industrie pour la fabrication des produits et à la campagne dans l'alimentation du bétail et pour l'arrosage des cultures.

Jordan


Les pollutions de l'eau.

Les habitants utilisent et salissent l'eau. Les industriels utilisent l'eau pour refroidir et nettoyer les machines. Les rejets pollués doivent être purifiés. Les engrais et les produits de traitement utilisés en trop grande quantité polluent les eaux souterraines.

Rose


La protection de l ' eau

Les usines doivent être équipés d'une station d' épuration ou de technologies propres. L' eau utilisée peut alors être rejetée dans la rivière . Dans une ferme « propre », les déchets sont entreposés dans des endroits étanches. Les produits de traitement sont utilisés modérément.

Dylan


L'épuration

L'eau utilisée par les familles s'écoule dans des tuyaux d'évacuation.
Ces tuyaux sont reliés, en sous-sol, à un égout.
L'égout transporte les eaux usées vers la station d'épuration.

Raphaël


vendredi 4 décembre 2009

rcvtbn

samedi 21 novembre 2009

Forer pour accéder à l'eau : de la géothermie à l'aide au développement en Afrique (une interwiev réalisée par Elodie Gisselbrecht).

L’eau est au cœur de tous les débats… nous réalisons que nous manquons d’eau : en effet la Terre ne comporte que 2.5% d’eau douce !!Mais les pays les plus touchés, comme nous le savons tous, sont les pays africains. En revanche ce que nous ne savons pas c’est que l’Afrique regorge d’eau : en effet, l’eau se trouve sous terre, dans des nappes phréatiques. Actuellement ces pays sont dans l’incapacité d’exploiter ces ressources et pourtant il existe un moyen : les forages d’eau. A l’aide d’une machine à forer, on va aller chercher l’eau sous terre en `` creusant `` jusqu’à une certaine distance pour trouver l’eau. Cette technique est actuellement utilisée en France dans le cadre du développement durable. En effet les forages d’eau servent à alimenter le chauffage géothermique par pompe à chaleur. Mais certaines entreprises projettent d’aller en Afrique pour former des personnes pour qu’elles puissent exploiter leurs ressources dans le but d’un avenir meilleur…

L’eau, un enjeu pour demain… Interview d’un ingénieur-hydrogéologue et d’un foreur- opérateur géothechnicien

Par quel moyen détecte-t-on l’eau sous terre ?


La détection de l’eau dans le sol se base sur une recherche scientifique. Les domaines concernés sont la géologie, l’hydrogéologie et la géophysique.
La géologie nous renseigne sur la nature des sols sous nos pieds et permet ainsi de distinguer les différentes couches de roches, certaines étant riches en eau (présence d’une nappe d’eau), d’autres inexploitables (imperméables ou sèches).
L’hydrogéologie est la science de l’eau dans le sol. Il s’agit par diverses méthodes d’investigations sur le terrain de définir au mieux la ressource en eau quand elle existe : quel est le volume d’eau exploitable ? A quel débit peut-on la pomper sans risquer d’assécher la nappe ? Quelles sont les mesures à mettre en œuvre pour protéger la ressource (limiter l’agriculture intensive à proximité des zones de captages, empêcher le rejet d’eaux usées ou de polluants industriels) ?
La géophysique est une méthode prospection. Comme pour la recherche de gisements fossiles (pétrole, gaz), on réalise des forages de reconnaissance une fois que l’on a défini une zone probable exploitable. Ces forages vont nous renseigner sur la présence d’eau et la profondeur de celle-ci. La géophysique s’appuie aussi sur les caractéristiques particulières de l’eau et des sols. En fonction de leur nature les roches conduisent plus ou moins bien l’électricité et les ondes. On parle de résistivité ou à l’inverse de conductivité. L’eau joue un rôle prépondérant dans cette faculté de conduire l’électricité. Le géophysicien injecte donc du courant électrique dans le sol par un appareillage spécifique et détermine la présence d’eau en fonction des résultats.

Comment procéder à un forage d’eau ?

On utilise une machine bien particulière appelé foreuse. Le principe est de percer les couches de sol et de roches en utilisant la rotation et la percussion. La tête du forage est cette partie très dure (pouvant être en diamant dans certains cas) qui va découper la roche. En fonction de la profondeur que l’on souhaite atteindre, on place successivement au cours du forage des tubes en métal qui constituent le ‘train de tiges’ qui permet de descendre la tête de forage. En fonction des types de sols rencontrés, de la dureté des roches, différents types de foreuses ou de méthodes peuvent être employées. Remarque : le forage le plus profond au monde a été réalisé par la société Exxon (pour le pétrole) : situé sur l’île de Sakhaline au large de la Russie orientale, le puits Z-11 qui a établi le record a atteint une profondeur totale mesurée de 11 282 mètres soit plus de 11 kilomètres. Le forage d’eau est un domaine bien particulier qui n’a rien à voir avec les forages pétroliers par exemple. On parlait à l’époque de puisatier (avant les machines, les puits étaient réalisés à la main et souvent maçonnés). D’ailleurs un forage destiné à être exploiter pour l’alimentation en eau est toujours appelé puits.

Une fois le forage fait, comment remonter l’eau à la surface ?

En utilisant des pompes. Il en existe là aussi plusieurs types (pompes immergées, pompes de surface…). Les pompes sont choisies en fonction du diamètre du forage, du débit d’exploitation souhaité, de la profondeur et du ‘type’ d’eau. En effet l’eau, de part sa nature, peut causer des dépôts (calcaire par exemple) ou, à l’inverse, corroder les matériaux. Il faut donc adapter le matériel de pompage pour qu’il résiste au temps.

strong>Est-ce que l’eau est « assainie » quand elle arrive à la surface ? Si oui comment ?

Si l’eau pompée est destinée à la consommation humaine, oui toujours. On dit que l’eau est traitée. L’assainissement concerne les eaux usées. Là encore, il existe de nombreuses méthodes de traitement. La première étape consiste à déterminer les risques de pollutions et le ‘type d’eau’ pompé en réalisant une première analyse de l’eau une fois le forage réalisé. Ensuite, on choisit un ou plusieurs traitements adaptés. On retiendra que l’on traite d’un côté le risque lié aux bactéries (micro-organismes pathogènes) et d’autre part le risque chimique (nitrates, métaux lourds…). Citons quelques traitements : Les Ultra-Violets ou le chlore (contre les bactéries), l’ozone, l’ultrafiltration, la décantation, l’oxygénation…

En quoi consiste le chauffage géothermique ?

Le chauffage géothermique est issu des énergies renouvelables, il participe au développement durable
. Il existe plusieurs sortes de chauffage géothermique : aquathermie ( eau ) , aérothermie (air ) ,géothermie ( par sondes profondes entre 80 et 150 mètres de profondeur selon les régions, mais la suisse descend jusqu’à 250 mètre de profondeur ). Ce chauffage récupère les calories contenues dans le sous-sol sachant qu’à partir de 10 mètres de profondeur la chaleur est constante quelle que soit la température ambiante ( ex : +30 ou - 50 ). La température augmente tous les 100 mètres de 1° selon les régions ( exemple : régions volcaniques la température augmente plus vite ).

L’Afrique a-t-elle un espoir de vie meilleure grâce aux forages d’eau ?

Oui, assurément. L’accès à l’eau potable est un luxe dont nous ne mesurons plus l’importance dans nos sociétés occidentales tellement tourner un robinet est devenu un geste anodin. Accéder à l’eau est un gage de développement et reste synonyme de vie meilleure. De grandes campagnes de forages sont lancées partout en Afrique pour essayer d’apporter au moins un point d’eau même dans les villages les plus reculés. Le but n’est pas juste d’apporter simplement un forage d’eau ! Il faut intégrer les populations locales à la gestion de la ressource en les sensibilisant et les responsabilisant.En effet, un point d’eau (forage) en Afrique pour un village sert à tous les usages. Consommation, hygiène, taches ménagères mais aussi vie sociale. Et il y en a généralement un seul pour tout le village. Préserver la ressource est donc une priorité absolue. N’oublions pas que nos milieux de prélèvements sont aussi nos milieux de rejets.

Est-ce que l’eau se renouvelle dans ces nappes phréatiques ou est-ce qu’un jour ces nappes n’existeront plus ?

Oui, l’eau se renouvèle dans la plupart des nappes grâce au cycle de l’eau. Ainsi l’eau évaporée (essentiellement au niveau des océans) réalimentent les nappes par le phénomène de précipitation (et infiltration). Néanmoins certaines nappes très anciennes (nappes fossiles) ne sont plus réalimentées car au fil des âges géologiques, le climat à changé (exemple le Sahara en Afrique). Leur exploitation doit se faire de manière raisonnée ce qui est rarement le cas car beaucoup d’usages (industriels, miniers) demandent des quantités d’eau gigantesques.De manière générale une nappe est en danger quand elle est surexploitée, c'est-à-dire quand les volumes pompés sont supérieurs aux volumes précipités (réalimentation par les précipitations et les cours d’eau). La nappe s’assèche alors complètement, les sols se tassent, la vie disparait entrainant de véritables catastrophes écologiques irréparables.
Exemple : Las Vegas (USA) est la ville qui connaît l'expansion en surface la plus rapide des USA. En 1950 la population locale était de 24'624 habitants alors qu'en 2005 elle dépasse le million et pourrait doubler d'ici à 2015. Cet accroissement de la population fait pression sur les ressources en eaux. Pour arroser les parcours de golf crées en plein désert, d'impressionnantes quantités d'eau sont pompées de la nappe phréatique. Ces prélèvements étant plus important que le renouvellement de l'aquifère, le sol s'enfonce. En 1963 le centre ville s'enfonça de 1 m, en 1986 de 0.85cm et 1.5m au nord de la ville. La seule manière de réduire cette menace consiste à diminuer massivement l'usage de l'eau.

Y’a-t-il un autre moyen que les forages d’eau pour chercher l’eau sous terre ?

J’en ai parlé un peu avant (première question). Le forage est une méthode de prospection directe. On constate simplement s’il y a de l’eau ou pas en allant voir au cœur même des roches. La géophysique permet une prospection indirecte grâce à des méthodes dites électriques ou sismiques. Une littérature riche d’années de recherches, de cartographie, de prospection a permis de réaliser des bases de données complètes qui permettent souvent de simplifier ou au moins de faciliter les choses.

Que pensez-vous de notre projet sur l’eau ?

L’eau est un bien précieux, universel et vital. Surexploitation, pollutions, usages de plus en plus complexes et gourmands sont autant de menaces pour cette ressource si fragile et tellement essentielle.

Nous n'héritons pas la Terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants.

Invitation aux élèves de l'UPI



Bonjour à tous !
Nous serons très heureux de vous rencontrer le 18 décembre dans notre lycée. Nous allons alors faire du "récup'art". Ce sont des bricolages construits avec des objets que l'on n'utilisera plus, ceux qui doivent normalement aller à la poubelle, comme du carton, des bouteilles, des bouchons...Nous allons fabriquer des animaux sur le thème de l'eau : des poissons, canards, grenouilles...
D'ici là, rassemblez chez vous des matériaux de récupération pour confectionner nos bricolages.
Nous allons bien nous amuser !

A bientôt,
Suzon, Mélanie et Louise (photo).

PS : certains élèves dorment au lycée, on dit qu'ils sont internes.
Vous pourrez visiter notre lycée le 18 décembre.

mardi 17 novembre 2009

Le dessalement












Sachant qu’un milliard de personnes vivent dans des régions où l’eau est rare et que, quand il y a de l’eau douce, une infime fraction seulement est accessible, on peut s’interroger sur les aménagements possibles pour garantir au plus grand nombre un accès à l’eau potable.

Certains pays ont entrepris de dessaler l’eau de mer ou les eaux saumâtres pour répondre aux besoins de leurs populations et pour permettre l’irrigation à des fins agricoles. Cette technique est surtout utilisée au Moyen Orient (Koweit, Arabie Saoudite, Israël...) mais on trouve aussi des usines de dessalement en Algérie, en Amérique latine ou encore en Inde. Depuis quelques années, des pays du Nord aux besoins en eau toujours grandissants comme l’Espagne, l’Australie ou les Etats-Unis multiplient également les constructions d’usines de dessalement.

Il existe deux types de procédés de dessalement :
- soit on utilise une membrane semi-perméable (méthode dite de « l’osmose inverse », cf. schéma n°2)
- soit on procède par évaporation (à l’aide de la chaleur du soleil ou en chauffant l’eau dans une chaudière) puis par condensation de la vapeur d’eau obtenue, ce qui revient à imiter le modèle naturel de la pluie (méthode de la distillation, cf. schéma n°1).

Même si ces techniques ont permis d’améliorer l’accès à l’eau de certaines populations, il faut reconnaître qu’elles présentent quelques inconvénients : les usines coûtent très cher, consomment beaucoup d’énergie et produisent beaucoup de CO2. Les conséquences environnementales ne sont pas encore bien définies mais on pense qu’elles pourraient être assez lourdes. On sait que le dessalement par osmose peut piéger certains poissons même si c’est à très basse échelle. Comme on rejette le surplus de sel dans la mer, certains craignent que le taux de sel dans l’eau n’augmente de manière nocive pour l’écosystème.
Mais heureusement, des avancées technologiques sont faites chaque année en matière de dessalement pour essayer de limiter les impacts écologiques (on peut utiliser des éoliennes pour fournir l'énergie par exemple) et améliorer la rentabilité des usines.
A l’heure actuelle, les quelques 13 000 usines de dessalement réparties dans le monde produisent seulement 0, 5 % de la consommation mondiale mais cette technologie est appelée à se développer dans les années à venir.

Célia, Thibaut F., Elodie G., Elodie W., Devon, Malik et Karen

d’après le dossier de Courrier International, « Quand nous boirons tous de l’eau de mer », n° 956, du 1er au 2 août 2008.

Les schémas explicatifs des procédés de dessalement sont extraits du livret d'accompagnement de l'exposition "L'eau pour tous, tous pour l'eau!".

lundi 16 novembre 2009

Les enjeux de l'eau en Chine.

En Chine, la question de l'eau est plus que jamais urgente. Début juillet, une ville entière de la région du Shaanxi a manqué d'eau durant une dizaine de jours. Il a donc fallu mettre en place une distribution gratuite d'eau quotidienne. Ce qui est préoccupant, c'est que le cas de cette ville n'est pas isolé...
Dans ce pays où les ressources en eau sont inégalement réparties -les inondations sont fréquentes dans certaines régions-, les causes du manque (durable ou ponctuel) d'eau sont multiples. Avec la tendance actuelle à une hausse des températures et à une baisse de la pluviométrie, on assiste au tarissemnt de certaines rivières et à la diminution des réserves souterraines. Mais c'est l'homme qui est surtout responsable de la pénurie d'eau en Chine.
L'industrie
emploie des produits chimiques toxiques qui sont ensuite déversés dans l'eau, la rendant impropre à la consommation. Les mines de charbon (le charbon représente 80 % de l'énergie en Chine), de plus en plus profondes, polluent les nappes phréatiques en les perforant.
L'agriculture est aussi très "gourmande" en eau : la surface agricole s'est accrue ces dernières années et afin d'augmenter la production, les champs sont abondamment irrigués.
L'amélioration du niveau de vie des Chinois implique une plus forte demande en eau pour satisfaire aux besoins du quotidien et pour garantir la qualité de l'environnement urbain (fontaines, espaces verts...).

Dans ce contexte, le manque d'eau pourrait être dès maintenant un frein au développement économique de la Chine. Une bonne gestion de l'eau est donc indispensable. L'Etat chinois a entrepris depuis des décennies de grands travaux d'aménagement hydrauliques, parmi lequels la construction du barrage des Trois-Gorges [cf. message ultérieur sur notre blog]. Partout, il faut construire des stations d'épuration.
Mais c'est surtout à l'échelle régionale et locale qu'il faut agir. Dans la préfecture (circonscription administrative) du Yulin, par exemple, les autorités ont imposé un système restreint d'accès à l'eau et encouragé les usines à utiliser des techniques de refroidissement par air plutôt que par eau. Pour obtenir l'autorisation de mettre en oeuvre de nouveaux projets industriels, les entreprises doivent s'engager à polluer moins. Afin d'économiser l'eau en responsabilisant les gens, les autorités envisagent d'augmenter son prix. On peut également former les paysans à utiliser des techniques d'irrigation modernes gaspillant moins d'eau...

En Chine, comme partout dans le monde, l'eau est donc une question cruciale. La banque asiatique de développement (BAD), entre autres, souhaite commencer à agir en doublant ses dépenses consacrées à des projets relatifs à l'eau dans les prochaines années.
Il y a urgence...

Mélanie F., Gabriel, Charlotte, Louise, Marie et Charlène.

d'après le dossier "Quand la Chine mourra de soif" paru dans Courrier international, n°987 (du 1er au 7 octobre 2009).

Sur la question de la pollution de l'eau en Chine, vous pouvez écouter l'émission de France Inter "Co2, mon amour" du samedi 14 novembre 2009.

vendredi 13 novembre 2009

Les élèves de l'U.P.I. répondent...

Bonjour à tous,

Ça nous a fait très plaisir de vous voir sur les photos, je trouve les filles vraiment très mignonnes. J'ai l'impression que vous travaillez bien. Je vous souhaite bon courage!
Est ce que c'est difficile, ce que vous apprenez en classe?
A bientôt.
Rose.

Les garçons ont l'air très sympa! Est ce que vous dormez dans votre lycée?
Raphaël.

J'espère qu'on se rencontrera bientôt! Nous aussi, nous travaillons sur l'eau, nous avons fait des expériences en classe. Au revoir.
Constance.

Vendredi prochain, nous ferons une sortie à la débrouillothèque de Meistratzheim dans le village de Constance sur l'eau, sur l'énergie et le tri des déchets. Nous vous raconterons ce que nous aurons découvert.
A bientôt.
Aurélien.

Est ce que votre lycée est neuf? Notre collège est en rénovation. Il n'est pas encore fini.
Je suis pressé de vous rencontrer.
Jordan.

jeudi 12 novembre 2009

"L'eau pour tous, tous pour l'eau !"




"L'eau pour tous, tous pour l'eau!" est le titre d'une exposition conçue par la Casden (banque populaire) et mise à la disposition de notre établissement durant quelques semaines.
Mardi dernier (le 10 novembre), les secondes 2 ont travaillé sur les douze panneaux de cette exposition. Le questionnaire qu'ils ont rempli servira de base à l'ensemble de la réflexion qui sera menée cette année sur l'eau et ses enjeux pour la planète.